Slim BENCHEIKH

Enseignant à l’Institut Supérieur des Arts Multimédia, Université de la Manouba (Tunis).

- n°19/20 (pages 66-81) | Unforgiven, 1992, Clint Eastwood.
- n°21/22/23 (pages 15-21) | Aniki-Bobo, 1942, Manoel de Oliveira.
- n°27/28 (pages 24-37) | Première apparition et départ final du héros dans le western : John Ford et Clint Eastwood.
- n°31 (pages 27-44) | Pale Rider (Le cavalier solitaire), 1985, Clint Eastwood.
- n°35/36/37 (pages 127-160) | “The last of the Mo-Ricans…” : Carlito’s Way (L’impasse), 1993, Brian DePalma.
- n°38 (pages 45-55) | Hard Eight, 1996, Paul Thomas Anderson.
- n°38 (pages 56-77) | “Oui à l’amour, sinon la solitude”, entretien avec Alain Badiou : Magnolia, 1999, Paul Thomas Anderson.
- n°42/43/44/45 (pages 45-73) | Le film noir comme genre : essai de définition.
- n°50/51/52 (pages 23-57) | Traversée des représentations : Stagecoach (La chevauchée fantastique), 1939, John Ford.
- n°66/67/68/69 (pages 117-121) | Pour (ne pas) en finir avec le héros : Blood Work, 2002, Clint Eastwood.
- n°79/80/81 (pages 89-98) | Le Western par qui le scandale arrive : Ulzana’s Raid, 1972, Robert Aldrich.
- n°87/88/89 (pages 11-23) | Pour en finir avec l’adaptation : The Big Sleep, 1946, Howard Hawks.
- n°91 (pages 101-110) | De quoi le légende est-elle le nom ? : American Sniper, 2014, Clint Eastwood.