Contes - N°39/40/41
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Le conte est populaire, il s’adresse à tous. En ce point, le cinéma lui ressemble. Sans être un genre cinématographique au sens classique, il apparaît aujourd’hui comme une issue possible à leur saturation, comme une possibilité de fiction déclarée, mais sans la transparence du cinéma réaliste. Il requiert une certaine distance, et invente un autre rapport au cinéma hollywoodien. Surtout, il permet une pensée de l’impossible et ouvre en ce sens, concrètement, à l’invention de nouveaux possibles. Car le conte est, toujours, une hypothèse sur le monde.
Men with Guns, de John Sayles ; Du soleil pour les gueux, d’Alain Guiraudie | par Élisabeth Boyer
Groudhog Day (Un jour sans fin), d’Harold Ramis | par Anaïs LeGaufey
Jacques Demy, conteur | par Stéphane Nadaud
Mulholland Drive, de David Lynch | par Célia Lafitedupont
Disneyland, mon beau pays natal, d’Arnaud des Pallières | par Daniel Fischer
La nuit du chasseur, de Charles Laughton | par Pascale Risterucci
Les Contes de Canterbury, de Michael Powell | par Barthélemy Amengual
À propos de l’enseignement du cinéma | par Jean-Louis Leutrat
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